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Des taux de crédit immobilier à 2%, c’est déjà envisageable Déclic immo 17
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En fin d’année dernière, on parlait encore des taux de crédit immobilier à moins de 1%. Six mois plus tard, la possibilité de les voir grimper rapidement à 2% surgit déjà. Une barre symbolique qui n’a plus été atteinte depuis 6 ans. À cette époque, l’inflation était quasi-nulle. Aujourd’hui, elle galope de plus en plus et dépasse les 5%. Conséquence: le taux auquel l’État s’endette sur 10 ans (OAT 10 ans) suit la même tendance. Début mars, il était de 0,4%. Trois mois plus tard, il a grimpé à 1,8%! Ce qui oblige les banques, pour conserver des marges raisonnables, d’augmenter fortement les taux de crédit.

Sur 20 ans, les taux communiqués par les banques aux courtiers, pour le mois de juin, s’élèvent à 1,54% et 1,68% sur 25 ans. Mais la réalité est tout autre. Les taux officiellement proposés aux emprunteurs sont plus élevés: autour de 1,65% sur 20 ans et 1,75% sur 25 ans, en moyenne. La barre symbolique des 2% s’approche ainsi lentement mais sûrement, et plus vite que prévu. Cette barre est déjà allègrement dépassée pour les profils moins aisés (moins de 4000 euros par mois à deux) sur 25 et même 20 ans. Elle pourrait s’élargir à d’autres profils dans les semaines ou mois à venir si la Banque centrale européenne augmente, comme prévu, ses taux directeurs qui impactent les taux de crédit immobilier.

Pour s’assurer des marges confortables, les banques fixent des taux supérieurs de 100 points de base à l’OAT (1,8% aujourd’hui), soit 2,8%. Problème: la loi interdit aux banques de demander des taux supérieurs au taux d’usure (taux maximal) qui est, actuellement, de 2,4%. Depuis plusieurs mois, le taux d’usure, qui est calculé sur la moyenne des taux pratiqués par les banques pendant un trimestre, baisse pendant que les taux de crédit augmentent. Ce qui provoque un «effet ciseau», excluant de plus en plus d’emprunteurs et notamment des primo-accédants.